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Test

Rédigé le 01 mai 2011 | Lien permanent | Commentaires (0)

Les premières réactions à l'étranger sur l'autorisation d'utiliser les copeaux de bois

http://www.napavalleyregister.com/articles/2006/04/06/business/local/iq_3367216.txt

Rédigé le 06 avril 2006 | Lien permanent | Commentaires (3) | TrackBack (0)

Une actrice de films X devient winemaker...

Il faut vraiment donner de sa personne pour vendre du vin aujourd'hui...

http://www.iol.co.za/index.php?set_id=1&click_id=29&art_id=qw1143090721265B230

Lire la suite "Une actrice de films X devient winemaker..." »

Rédigé le 23 mars 2006 | Lien permanent | Commentaires (5)

Un bel article du Monde sur le chêne de Morat...

... l'un des plus vieux chênes de la forêt de Troncais.

Rédigé le 26 janvier 2006 | Lien permanent | Commentaires (1)

Merci au Figaro magazine de mentionner Blogovino

c'était ce week-end, juste une mention... mais c'est déjà bien.

Rédigé le 25 janvier 2006 | Lien permanent

Pour une géographie viticole des arènes

Le détail n’aura échappé à personne : de Fréjus au levant, à Bayonne au ponant, le soleil joue au chat. Des sérieuses places à l’ombre, où les glaçons fondent moins vite, jusqu’au populaire dernier rang, debout, quand on écrase au pied les gobelets de bière en plastique pour les ravir au vent, le chemin des arènes françaises emprunte la route des grands vignobles sudistes.

On objectera que sur cette autre course et cette révolution, de mars à septembre, flotte généreusement une épaisse odeur anisée répartie entre les rouges –les plus sages, mais qui dépassent toutefois d’un pourcent la majorité des imbéciles- et les jaunes, mais chaque plazza s’entoure de ses vignobles, y défend ses particularismes, son terroir, son éthylisme tangible, bref, tout ce qui permet à l’office du tourisme local et au syndicat des producteurs réunis d’afficher ses banderoles et, à l’attaché de presse, d’exiger quatre barreras pour d’improbables plumes du Figaro Madame, mais qu’elle refilera finalement aux amis de son filleul en villégiature dans sa villa d’été pour réviser leurs partiels de septembre.

En revanche, on écartera facilement de la main et d’une passe du mépris les rares buveurs de champagne puisque jusqu’ici, les jeteurs de Cava restent en deçà du col de Fontevrault. Seuls l’âge et l’expérience tolèrent les tournées de bulles tièdes dans des gobelets à pied Métro en plastique.

De l’est à l’ouest, les vins gagnent en densité. En Provence, on célèbre les Cinsault rosés et cette vision un peu diluée d’une Espagne de poupée sévillane sur un napperon, au dessus de la télé. Jenifer, Nolwen et Lara Fabian : c’est un cartel pour Istres. Grand Dieu, c’est qu’on est plus proche des marchés de dupe de Vintimille que de Bilbao. A Arles, pour Pâques, premier soleil. Dans la pena des Losada on trouve du fino le vendredi soir quand il pleut mais, dès le lendemain, les TGV de la gare de Lyon déversent pour la fin de la novillade de 11 heure d’irréductibles buveurs de Rosé ensablé, tout près de réclamer le même après midi l’indulto après deux droitières les fesses à Méjanes, une main pour la crème solaire passée sur les genoux de Chloé, l’autre tenant le Palm : « c’est formidable ». Plus tard, Nîmes célèbre le renouveau languedocien mais reste protestante dans ses rivalités. On connaît un maire de la ville au crocodile qui fit renvoyer quatre palettes de Coteaux du Languedoc pour la Pentecôte, et dépêcha les estafettes du service de nettoyage de la ville chercher des Costières pour la Bodega de la municipalité.

Béziers souffre irrémédiablement de sa proximité intellectuelle avec le Cap d’Agde et s’endort sous les mojitos servis dans l’hôtel particulier réservé pour le Syndicat des Vins de pays d’Oc. Qui a vu la plaine biterroise et lu les pérégrinations du Quichotte comprendra. Décidemment, Sébastien ne méritait pas ça. De même, tous ceux qui prétendraient que la déroute de Fenouillet nous permettra à l’avenir d’éviter de boire des Buzet et des Gaillac de l’année sont des imbéciles. De bons dégustateurs, mais des imbéciles.


Pour toutes les bonnes raisons du monde et d’autres inavouables, Céret roule de façon inimitable les Grenache des PO et c’est aux Feuillants qu’on espère qu’Espla viendra redessiner une affiche. Quand se pointent les tourelles de Carcassonne, on entre aperçoit dans les cartels des rudes novillades la vendange toute proche des Carignan du Minervois. Si les antis sont déjà repartis défendre l’implantation de l’ours des Pyrénées, c’est qu’elle sera bonne.

A Vic, qui n’a pas dîné avec ses quatorze copains et le coupeur d’orange en face des arènes, sous les canisses avec un verre de Madiran n’a pas compris la subtile rudesse de sa présidence. Et puis voici Mont de Marsan avec ses Tursan durs comme autrefois les capes amidonnées, loin des flasques torchons des figuritas invités par la nouvelle présidence. Et Dax la sublime avec les rives de l’Adour, plus moelleuses que des canapés pour siroter un Pacherenc en attendant le paseo. Avant d’arriver au petit Bayonne où tout est permis : Irouléguy, Kaas, Gin, Rouge, Coca, Rosé, Schweppes, Blanc dans l’ordre et le sens que vous voudrez.

Et puis les autres, toutes les autres : la douceur du Muscat à Lunel, la rudesse des Armagnac à Eauze où un soir Julio Aparicio le fils buvait du petit lait et du coca comme s’il avait déjà le mal au crâne du lendemain matin, les cailloux d’Alès comme des amandes effilées dans une déconfiture de Palha, les Maury de Milhas, les sangria de Parentis, le Saint Mont à Hagetmau, les Graves de Labrède… Floirac reste un mystère : une incursion en terres girondines où l’on se dit que les rigueurs médocaines sont curieusement desservis par les chorégraphies de Conde. Décidément l’homme est un vin de garage, aussi rare et introuvable sauf aux amateurs fortunés.

Pour mémoire et plus amples informations, on consultera avec profit les étagères des supérettes Coccinelle du grand sud pour découvrir, quelle que soit la saison, la cuvée spéciale de la féria précédente. Voire celle de l’année antérieure, si le patron ne s’est pas encore décidé à les offrir en lot spécial pour le Téléthon.

Plusieurs autres géographies pourraient à juste titre s’épanouir. Peut être qu’un jour un sociologue à jeun nous expliquera pourquoi on croise toujours aux alentours des arènes autant de vignerons, aussi épris de toros qu’ils le sont en général de leurs vignes. L’amour de l’incertitude ? Une vendange, c’est presque pire q’un tour de passe-passe dans un chapeau un matin.

A la longue, la route des arènes suit l’envie et les différences, toutes celles que l’on veut voir chaque fois que s’ouvre la porte du toril. Le jour où il y aura des arènes à Beaune, on se demande bien quels toros et pour qui on les mettra au cartel.

François Bannier

Rédigé le 09 janvier 2006 dans Opinions | Lien permanent | Commentaires (2)

Quelle géographie viticole dans 50 ans ?

Bonjour,

La lecture de cet article relatif au rechauffement du climat dans le vignoble m'amène à me poser certaines questions !

Qu'en sera-t-il de la géographie viticole d'ici une cinquantaine d'années et nos chères AOC auront-elles encore la même signification ?

Rappellons qu'une Appellation d'Origine Contrôlée se caractérise principalement par :

- un terroir délimité : le climat fait partie de la notion de terroir, qui ne peut se limiter à la simple analyse du sol,
- l'utilisation de cépages obligatoires : qui sont un héritage du passé et qui garantissent le maintien de la typicité et de l'homogénéité des vins d'un cru (quoique ?),
- des façons culturales réglementées (plantation à l'hectare, modalité de vendange, taille, rendements, etc.).

L'AOC est donc une photographie de ce que doit être un vin sur un terroir à un instant T.  Que se passera-t-il si la géographie viticole est complètement bouleversée par l'influence du réchauffement climatique ? Le carcans de l'AOC ne va-t-il pas être un frein à l'évolution nécessaire dans le vignoble ?

Maintenant, même si le réchauffement climatique de la planète ne fait plus aucun doute, il n'est pas certain qu'il en soit de même en Europe et tout particulièrement en France. Les scientifiques se demandent si le réchauffement de la planète ne va pas entrainer un déplacement du Gulf Stream, à qui l'on doit la clémence de nos climats européens. .. Le réchauffement de la planète pourra donc amener un refroidissement du climat en Europe...

On observe depuis une dizaine d'années des millésimes de meilleure qualité... les petits millésimes se font plus rares... et les millésimes atypiques, voire qualifiés d'exceptionnels (est-ce toujours le cas ?) se multiplent : 2000, 2003...

Le vignoble français dispose d'une très grande variété de terroirs et saura certainement s'adapter...

A suivre ...

Jean-Baptiste Duquesne
Le blog vin

Rédigé le 17 décembre 2005 dans Actualités | Lien permanent | Commentaires (3)

Mais non, le Kiwi est Francais!

Mais non, le Kiwi est Francais!: (article en anglais)
While everyone knows how tough a time the winemakers in France have been having of late, the lengths to which they will go to protect their lot never cease to surprise. If it's not firebombing wine cellars or disrupting internal transport services, it's protecting their geographical heritage. But maybe, just maybe, they've gone too far with this one.

Kahurangi Estate, a wine maker on New Zealand's South Island, has been threatened with legal action by France's Lacheteau wine company this week. The reason? Lacheteau has registered the name 'Kiwi Cuvee' as a trademark, and will sue anyone selling wine with that name anywhere in the European Union, the New Zealand Herald has reported.

Kahurangi Estate, which makes a chardonnay called Kiwi White, has been exporting its wine to Sweden since before Lacheteau trademarked the name in May.

"It's a case of the pot calling the kettle black," Kahurangi founder Greg Day told the paper. "Here's the French trying to protect Burgundy as a geographical indicator and saying we can't use Kiwi."

Rédigé le 13 décembre 2005 | Lien permanent | Commentaires (0)

Blogovino sur europe 1

Merci à Julie Andrieu pour son interview de blogovino ce matin sur europe1.

Rédigé le 11 décembre 2005 | Lien permanent | Commentaires (0)

les viticulteurs murent l'entrée du CIVB

Un reportage vidéo de France 3. Les viticulteurs reprochent aux négociants d'augmenter leur marges alors qu'eux travaillent à perte. Ils voudraient maintenir un prix plus élevé. Les négociants répondent qu'il s'agit du prix du marché et que leurs clients ne veulent pas payer plus. Il est certain que l'on s'enfonce dans une crise sans précédent pour la viticulture française. Qu'en pensez vous?

Technorati : blogovino, bordeaux, civb, vin

Rédigé le 09 décembre 2005 dans Crise du vin? | Lien permanent | Commentaires (5)

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